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Investir au Bénin : La CONEB à l'assaut des investissements chinois

24 Avril 2017, 14:47pm

Publié par HODA Kouakou Steve

Une délégation de 17 investisseurs chinois est à Cotonou sur invitation de la Confédération Nationale des Employeurs du Bénin (CONEB) pour une mission exploratoire au Bénin. Plusieurs accords ont été signés avec à la clé l’ouverture prochaine d’une représentation de la CONEB au pays du fils ainé.

La Confédération Nationale des Employeurs du Bénin (CONEB) entend jouer sa partition dans la mobilisation de ressources au profit du Bénin. Ce qui devrait accompagner la réalisation de l’ambitieux Programme d’Action du Gouvernement (PAG) que s’est doté Patrice Talon et son équipe. Ainsi, après le Japon, l’institution dirigée par Monsieur Albin Féliho a accueilli récemment la visite de 17 investisseurs chinois. Ces derniers en mission exploratoire au Bénin ont été accueillis au siège de la CONEB. Plusieurs accords ont été signés avec la confédération des employeurs pour un partenariat gagnant-gagnant matérialisé par la signature du mandat de représentation en Chine de la CONEB. Au cours de cette importante rencontre qui a eu lieu ce jeudi 20 avril 2017, plusieurs opportunités d’investissements des membres de la CONEB dans divers secteurs ont été présentées par l’expert Senior du Cabinet FINANCE. COM, Hermès BOCO à la délégation. On peut citer les secteurs du transport logistique, de l’hôtellerie tourisme, de l’Agriculture-agroalimentaire, l’énergie et l’hydraulique. Pour ce qui est du transport, un accent particulier a été mis sur le transport routier Inter-Etat par bus, le transport de marchandises sous régional. Il est prévu d’importants investissements dans le domaine de la construction, la rénovation, l'extension et la mise aux normes requises d’hôtels, le développement des chaines de valeurs agricoles, le développement de l’agro-industrie pour la transformation locale afin de créer plus de valeur ajoutée, l'Intensification de l’élevage de volailles de race locale pour faire de la sécurité alimentaire une réalité et réduire la dépendance vis-à-vis des produits importés. On note aussi la création d’unités de conditionnement des semences et d’autres encore. Les responsables de la CONEB en portant leur choix sur ce géant pays entend faire bénéficier au Bénin l’expérience de la Chine ; future puissance mondiale d’ici 2030. La Chine s’impose aujourd’hui comme une puissance agricole, militaire, économique. Elle a su modifier en l’espace de trente ans son modèle économique et se donner les moyens de conquérir le monde à travers son patrimoine culturel, architectural et hôtelier. Le Bénin qui s’est donné un programme ambitieux sur les 5 prochaines années entend aller à l’école chinoise pour se donner les moyens d’atteindre ses ambitions. C’est pourquoi, en installant un bureau en Chine, la CONEB veut appuyer l’accélérateur pour aider le pays à mobiliser des ressources pour amorcer un réel décollage. Plus loin à travers ce partenariat, la CONEB entend également apporter son expertise dans l'esprit de la loi sur le Partenariat Pblic-Privé pour ce qui concerne l’investissement privé.

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Projet Route du Coton : Une initiative en faveur du développement durable

20 Avril 2017, 03:05am

Publié par HODA Kouakou Steve

En prélude à la réunion de Coordination ministérielle des pays du C4, prévue ce jeudi 20 avril à l'hôtel Azalai de Cotonou, les experts des pays co-auteurs de cette initiative sectorielle en faveur du coton (Bénin, Mali, Burkina-Faso et Tchad) ont travaillé durant deux jours à examiner divers documents à la décision des ministres et chefs de délégations. Occasion pour ceux-ci d’examiner et valider ici à Cotonou le document de support du projet de Route du Coton. Une initiative salutaire qui devrait impacter positivement la vie des populations en contribuant à l’atteinte des Objectifs de Développement Durable (ODD).

Réunis à Cotonou depuis le mercredi 19 avril 2017, les Experts des pays co-auteurs de l’initiative sectorielle en faveur du coton (c’est-à-dire le Mali, le Bénin, le Burkina-Faso et le Tchad) ont travaillé à examiner divers documents dont le Projet de Route du Coton qui sera soumis aux Ministres et chefs de délégation ce jour. Le programme route du coton en effet, est une initiative qui vise à améliorer le rendement de la production de coton dans les pays bénéficiaires ; développer la valeur ajoutée du coton à travers la transformation locale du produit (en sous-produits dérivés notamment) et sur la base de standards qualité agréés. Il vise également à promouvoir un cadre juridique et institutionnel favorable aux investissements, à l’industrialisation et aux exportations ; mais surtout à accroitre la commercialisation du coton et ses produits dérivés sur les marchés de la sous-région (accroissement du commerce intra-régional), ainsi que l’exportation sur le marché international. À travers cet important programme, il s’agira d’augmenter la demande locale, régionale et internationale de coton/textile en provenance du C4 suscitée par la qualité, la variété, la disponibilité et les prix du coton et de ses dérivés. Il s’agira surtout d’investissements directs en faveur du secteur productif et de celui de l’industrialisation pour favoriser la transformation locale du coton en produits dérivés ; un environnement des affaires prévisible et simplifié favorable aux transactions commerciales dans le secteur du coton et enfin une amélioration de la production, de la productivité et de la compétitivité du secteur du coton dans les pays producteurs. Ce qui aura nécessairement pour impact la création d’emplois l’amélioration des revenus monétaires des acteurs de la filière ; l’amélioration des conditions de vie des communautés installées sur les sites de production et de transformation ; l’accroissement des rendements à l’hectare ; l’amélioration substantielle du taux de transformation des productions locales de coton de nos pays ainsi que l’augmentation de la contribution du coton au PIB des pays bénéficiaires. Toute chose qui contribuera in fine à éliminer la pauvreté (ODD1) et la faim (ODD 2) ; en créant des emplois (ODD8) et des infrastructures résilientes (ODD9) ; et en préservant l’environnement (0DD 15).

Libéré le secteur des pratiques qui entravent son développement

Libéré le secteur cotonnier africain des pratiques qui entravent son développement ; voilà ce qui a motivé les pays co-auteurs de l’initiative C4 a organisé la rencontre de Cotonou qui devra accoucher d’importantes décisions. Ces pratiques ont pour nom subventions à l’exportation les soutiens internes dont les volumes importants ont des effets réellement perturbateurs sur le marché international. C'est pourquoi il revient aux pays africains producteurs du coton de poursuivre les réformes internes allant dans le sens de rendre plus compétitif leur produit. La mise en place d’un document de Programme (à partager avec les parties prenantes du C4, les Bénéficiaires ainsi que les PTFs) est une recommandation de la rencontre de Bamako. Cette réunion de Cotonou va donc mieux recentrer les objectifs et les résultats escomptés afin d’articuler la démarche de mobilisation de ressources à privilégier pour faciliter le financement et la mise en œuvre du programme qui sera finalisé à la fin des travaux. Notons que le Centre du Commerce International (CCI) est un acteur majeur du Projet Route du Coton.

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Pâques à Abomey-Calavi : Me Seibou Abou fait le bonheur d' élèves et artisans

18 Avril 2017, 09:34am

Publié par HODA Kouakou Steve

Pour les populations d’Abomey-Calavi, la fête de Pâques s’est déroulée dans une très bonne ambiance. Et pour cause, Me Seibou Abou celui qu’on nomme affectueusement le « Père Thérésa » était dans la commune pour soutenir diverses initiatives.

Ce samedi 15 avril 2017, la commune d’Abomey-Calavi était en ébullition pour diverses raisons. D’abord, l’arrondissement d’Abomey-Calavi a servi de cadre à la finale de la première édition du concours « Laurus de la dictée ». Une édition qui a réuni 31 candidats venus des 10 établissements de la commune d’Abomey-Calavi. Et à l’occasion de cette grande finale, Me Seibou Abou, le « Père Thérésa » du Bénin était présent pour soutenir les jeunes élèves en compétition. En effet, après la dictée de la finale qui s’est fait sous l’œil vigilant du parrain du jour, 05 candidats ont pu tirer leurs épingles du jeu. Il s’agit de : Lafia Irfane de l’école le Rocher qui a enlevé le premier prix. Le second prix est revenu à Tokpo Oluwa Tobi de l’école Azognon. Bahunde Harmony (Ecole cœur d’or) et Yolou Richemène (Ecole Azongnon) sont respectivement 4e et 5e. Tous ces lauréats sont repartis les mains chargés de cadeau grâce au parrain Me Seibou Abou qui a promis faire davantage les éditions prochaines. Notons que cette première édition du « Laurus dictée » a été organisée par le Laurus Club International et les candidats sont les élèves des classes de CM1 et CM2. Juste après l’étape de l’arrondissement, cap a été mis sur le complexe scolaire « Le Quartier Latin » de Zogbadjè. Là-bas, l’heure était à la réjouissance puisque les Coiffeurs et coiffeuses du quartier dans la ferveur de la résurrection pascale était en fête. En effet, l’Association Professionnelle des Coiffeurs et Coiffeuses de Zogbadjè « Mawulé » a bien voulu marquer une pause dans ses activités afin de faire le bilan et renouveler son instance décisionnelle. Et pour joindre l’utile à l’agréable, elle a sollicité la générosité de Me Seibou qui a décidé de parrainer l’évènement. Entouré des femmes et hommes en joie, le Parrain en dehors des conseils prodigués a fait parler son cœur à cette occasion. Loin d’être le Christ pour transformer l’eau en vin à l’occasion de cette manifestation, le généreux donateur a mis la joie dans les cœurs. Notons que le parrain Me Seibou Abou était aux côtés de l’épouse de l’ex chef d’Etat Centrafricain Michel Djotodia. Le duo Abou Seibou et Chantale Djotodia étaient en parfaite communion avec ces coiffeurs et coiffeuses de Zogbadjè.

 

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Enquête : Voici le profil idéal que recherchent les entreprises béninoises aujourd'hui

6 Avril 2017, 08:09am

Publié par HODA Kouakou Steve

Pour la première fois de son histoire, le Bénin a élu à sa tête un homme d’affaires après les expériences douloureuses d’économistes et autres technocrates. Un an après, l’homme de la rupture qui n’est autre que le magnat du coton Patrice Talon, gouverne le pays comme une entreprise. La nation vert jaune et rouge est depuis le 06 avril 2016 au rythme des réformes qui appellent une nouvelle manière de faire les choses. Ainsi, pour savoir quel est le profil idéal que recherchent les entreprises béninoises dans un contexte pareil, la division économique du journal a enquêté auprès d’une vingtaine d’entreprises. Voici les résultats cette enquête.

Avoir un niveau acceptable, être pointu dans l’analyse et capable de s’adapter aussi rapidement à l’environnement professionnel ; être techniquement au point avec une parfaite maitrise de son domaine ; le tout avec une bonne dose d’audace, de dynamisme et partageant la vision de son entreprise ; voici le profil idéal que recherchent les entreprises béninoises à l’ère des nouvelles réformes. C’est ce qui ressort d’une enquête conduite par la division économique du journal « le Soleil Bénin Infos ». Ainsi, de janvier à mars 2017, cette enquête a été conduite auprès d’une vingtaine d’entreprises béninoises dont le chiffre d’affaires varie entre 30 et 800 millions de francs CFA par an et le nombre d’employés entre 10 et 117. Elle s’est déroulée dans les départements de l’Atlantique et du Littoral et les entreprises interrogées sont issues de divers secteurs notamment du transport, de la santé, des travaux pratiques, de l’agroalimentaire, du consulting, de la mode et du commerce. L’enquête a révélé que dans l’ensemble, les entreprises béninoises vivent des moments difficiles avec une baisse considérable du chiffre d’affaires ces dernières années. Une situation qui est certainement due à la récession économique que vit la sous-région et particulièrement la dévaluation du Naira qui affecte gravement l’économie béninoise. Mais au-delà de cette réalité, il ne faut pas occulter le fait que de 2015 à 2016, le Bénin a connu plusieurs élections qui ont freiné la dynamique de développement du pays. À cela, il faut ajouter la guéguerre entre le chef de l’État actuel et son prédécesseur Boni Yayi. Ce qui a sévèrement détérioré le tissu économique du pays. Selon les chiffres des institutions de Bretton Woods, la reprise en main de la filière coton par l’État béninois aux heures chaudes du conflit Yayi-Talon a fait du mal à la filière qui contribue pour beaucoup au PIB du pays. Notre enquête a surtout révélé que les entreprises qui réalisent les plus grosses performances sont en majorité celles dont les employés sont issus pour la plupart des écoles ou universités privées. Celles qui exercent dans des domaines qui font appel à des compétences purement techniques comme le génie civil, la santé, font exception à la règle.

Le diplôme utile pour occuper les hautes fonctions

Être techniquement bon ne suffit pas pour occuper les hautes fonctions au sein des entreprises béninoises. C’est ce qui ressort des résultats de l’enquête que nous avons menée auprès des entreprises. La quasi-totalité d’entre elles a affirmé que les personnes qui occupent les hautes fonctions au sein de leurs entreprises ont au moins la Licence, c’est-à-dire un BAC+3. Ceci dit, pour occuper des postes importants au sein d’une entreprise au Bénin, il faut faire l’effort d’obtenir non seulement le baccalauréat mais plus la licence, précieux sésame pour empocher un gros salaire. Et si vous en voulez un peu plus ; un master en poche serait une assurance tout risque pour occuper les hautes fonctions.

L’adéquation formation-emploi ; un casse-tête national

 

D’après les réponses des patrons d’entreprises que nous avons rencontrées, il faut au moins un an afin que les nouvelles recrues ne s’adaptent à l’environnement de travail. Et pour qu’ils satisfassent leurs employeurs, il faut un peu plus d’un an. Ce qui est suffisamment grave pour une entreprise qui entend faire du résultat. Cette situation est certainement liée à la qualité de l’enseignement dispensé dans nos universités et écoles. Un enseignement purement théorique avec des programmes qui datent du temps de Mathusalem. Les grèves répétées, les mouvements étudiants et autres ne sont pas du genre à améliorer la qualité du système éducatif béninois. On peut également noter qu’un étudiant peut finir tout un cursus à l’université (diplôme de Master) sans savoir rédiger un compte rendu, un rapport ou simplement une lettre de motivation. Il existe même des Docteurs dans diverses disciplines qui n’ont jamais été confrontés à l’environnement professionnel. Toute chose qui relance la question de l’adéquation formation-emploi et qui est confirmée par notre enquête. En effet, la quasi-totalité des entreprises interrogées soit 18/20 affirme ne pas être en contact avec l’université ou tout autre institut de formation. Les entreprises béninoises sont donc déconnectées des hauts lieux du savoir et les mémoires étudiants n’abordent aucunement les besoins réels des entreprises.

Moins de 5% du budget consacré à la formation du personnel

 

L’enquête menée auprès de certaines entreprises béninoises a montré que nos entreprises n’investissent pas beaucoup dans la formation de leur personnel. En dehors de quelques-uns qui franchissent la barre des 10%, la quasi-totalité des entreprises a un budget consacré à la formation en deçà de 5%. Les entreprises qui réalisent un chiffre d’affaires de plus de 300 millions de francs CFA par exemple sont celles qui investissent dans la formation ; c’est ce qu’a révélé l’enquête. Celles ayant une part du budget consacré à la formation très faible, sont celles qui avaient les chiffres d’affaires les plus bas ; du moins selon les réponses données. Y a-t-il donc une corrélation entre la formation du personnel et le chiffre d’affaires ? Difficile actuellement de répondre à cette affirmation sans une étude approfondie. Toutefois, il serait important pour les entreprises à l’ère du Nouveau départ d’accorder une part considérable de leur budget à la formation de leur personnel.

Les grandes recommandations

Au regard des grands enseignements à tirer de cette enquête, il est important pour le gouvernement de Patrice Talon d’assainir l’environnement des affaires. C’est vrai que des efforts ont été faits ces dernières années par l’équipe Yayi mais il faudra des actions plus vigoureuses pour freiner le taux de mortalité très élevé des entreprises béninoises. L’État a le devoir également de payer à temps ses prestataires pour leur permettre de supporter les charges et donc de créer de l’emploi et générer des ressources pour les caisses de l’État. Il faudra également revoir tous les programmes de formation et les cadrer avec les réalités économiques du pays. Ce qui passe par la réalisation d’infrastructures importante pour rendre moderne nos universités et écoles. La motivation du personnel enseignant parait aussi nécessaire pour relever les défis qui s’imposent. Pour un Bénin développé, il faudra également connecter les écoles, universités aux entreprises privées. À ce niveau, il y a des actions prévues par l’Alliance Internationale pour les Objectifs de Développement durable du Bénin (AIODD) qui entend faciliter le contact entre les deux structures. L’objectif étant de permettre aux entreprises de transmettre leurs besoins aux étudiants qui vont ensuite transformer ses besoins en des thèmes de mémoire. Les résultats des recherches sont mis à la disposition des entreprises. Ce qui va renforcer les formations duales et contribuer à développer le secteur privé béninois. L’autre chose à faire est d’inviter les entreprises béninoises à renforcer les capacités de leur personnel pour apporter de la valeur ajoutée à l’économie nationale.

La dynamique CONEB

S’il y a une institution qui s’inscrit dans la dynamique d’apporter un début de solutions aux recommandations émises haut, c’est bien la CONEB (Confédération National des Employeurs du Bénin). La structure dirigée par Albin Féliho est créée en décembre 2015 avec 89 membres, dont 12 fédérations nationales. La CONEB a pour vocation affichée de défendre les intérêts des chefs d’entreprises avec une philosophie humano-centrée, c’est-à-dire qu’elle défend l’homme dans l’entreprise. En effet, l’homme dans les conditions de progrès social optimal à un rendement dans son entreprise, sa productivité a donc un impact sur les résultats de l’entreprise. Le plus important, c’est l’homme au centre de l’entreprise qui a des préoccupations diverses. Quand on parle d’homme, c’est un ensemble de parties prenantes autour de l’entreprise (Employeur, fournisseur, clients, employés…), des vues différentes selon leurs positions, leurs classifications et leurs intérêts. Le rôle de l’employeur est donc de les concilier, les conjuguer vers un but commun : la pérennité de l’entreprise. Le développement de la technologie est une opportunité majeure pour les pays africains ; plus que pour les pays occidentaux. Dans un monde moderne, il faut travailler de concert avec les universités surtout dans le domaine numérique pour définir les besoins de l’entreprise. C’est ce que fait la CONEB qui collabore avec les universités afin de leur permettre de sortir des programmes de formation adaptés à des besoins de demain et non d’aujourd’hui. L’université d’aujourd’hui doit proposer des programmes pour d’ici à 20 ans. Les entreprises ont besoin des diplômés capables d’internaliser des besoins réels de l’entreprise. C’est pourquoi Féliho et ses hommes comptent développer un modèle dual : un temps en entreprise, un temps à l’école pour sortir des « jeunes béton ».

Enquête réalisée par Steve HODA et Zek Adjitchè ALAFAI

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