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La presse béninoise est efficace pour révéler les erreurs du gouvernement selon Afrobaromètre

12 Avril 2014, 10:54am

Publié par HODA Kouakou Steve

La presse béninoise est efficace pour révéler les erreurs du gouvernement selon Afrobaromètre

Au Bénin, une majorité des citoyens interviewés considère encore le quatrième pouvoir comme une structure de veille de la conscience populaire. En effet, pour 74% des sondés, il ressort que dans ce pays, la presse est efficace pour révéler les erreurs du gouvernement ou les cas de corruption.


Perception sur l’abus de la presse par rapport à la liberté d'expression !


La presse béninoise n’abuse pas de la liberté d’expression pour publier ou donner de fausses informations. On remarque que sur 3 Béninois, 2 estiment que la presse n’abuse pas fréquemment de la liberté d’expression pour publier ou donner de fausses informations. Cependant, nous observons qu’avec le niveau d’instruction, cette perception diminue. En effet, parmi ceux qui estiment que la presse n’abuse pas fréquemment de la liberté d’expression pour publier ou donner de fausses informations, 69 % ont une instruction non formelle, 65% ont le niveau primaire, 63% ont le niveau secondaire et 52% ont le niveau universitaire. Par ailleurs, en milieux urbains, 60% contre 70% en milieux ruraux estiment que la presse n’abuse pas fréquemment de la liberté d’expression pour publier ou donner de fausses informations.

Contre-pouvoir ?


En matière de contre pouvoir à l’exécutif, la presse privée fait mieux que la presse publique. Les citoyens interviewés ont été soumis à la question suivante : « Êtes-vous d’accord ou en désaccord qu’au Bénin, les institutions suivantes constituent un contre pouvoir à l’exécutif? ». Nous observons que 50% des citoyens estiment que la presse écrite et audio-visuelle publique ne constitue pas un contre pouvoir à l’exécutif, contre 36% pour la presse écrite et audio-visuelle privée.

Les médias devraient constamment enquêter et publier sur la corruption et les erreurs du gouvernement. Deux affirmations ont été porté à l’attention des citoyens interviewés : « Affirmation 1 : Les médias devraient constamment enquêter et publier sur la corruption et les erreurs du Gouvernement » et « Affirmation 2 : Trop de publications sur les événements négatifs comme la corruption et les erreurs du Gouvernement sont nuisibles au pays ». Nous avons observé que pour la majorité de ces citoyens (75%), les médias devraient constamment enquêter et publier sur la corruption et les erreurs du Gouvernement. Mieux, en comparant par rapport au niveau national, nous pouvons affirmer que les hommes sont plus exigeants (77%) que les femmes (73%) sur ce devoir de la presse.

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Afrobaromètre : Les femmes africaines sont moins actives en politique et ont peur des violences de campagne

11 Avril 2014, 14:11pm

Publié par HODA Kouakou Steve

Afrobaromètre : Les femmes africaines sont moins actives en politique et ont peur des violences de campagne

Le soutien des Africains pour l'égalité des femmes est de plus en plus répandu, mais
la réalité de chaque jour pour de nombreuses femmes reste caractérisée par le fait
qu’elles font l’objet de désavantage et de discrimination. Et tandis que la plupart
des gouvernements africains obtiennent généralement de bonnes notes pour leur
performance dans l'autonomisation des femmes, la lutte pour l'égalité des droits et
des chances pour les femmes est loin d'être gagnée surtout pour les femmes en
Afrique du Nord.


Une préoccupation qui demeure est que les femmes sont moins susceptibles d’être
des citoyens actifs. Non seulement sont-elles moins susceptibles à s’inscrire pour voter
et pour être élues en nombres plus élevée que les hommes, mais elles sont aussi
beaucoup moins susceptibles que les hommes à déclarer qu'elles ont pris contact
avec les dirigeants et qu’elles s’engagent dans d'autres formes de participation.
En outre, les femmes sont également plus susceptibles à craindre d'être victimes
d'intimidation ou de violence politique, plus que les hommes dans les pays où la
peur de l'intimidation et de la violence politique - tant chez les hommes que chez les
femmes - est à son niveau le plus élevé.


Les résultats, publiés ce jour 27 Mars 2014 dans le rapport "Les Africains soutiennent
l’égalité des femmes, mais la discrimination reste omniprésente, et l'Afrique du Nord
est à la traine », révèle que les femmes restent nettement pénalisées par rapport aux
hommes dans leur vie quotidienne, en dépit des progrès importants réalisés par le
gouvernement et la société civile.


Principaux résultats


 Les femmes sont également moins susceptibles d’exercer leurs droits politiques
que les hommes. Elles sont moins enclines à s’inscrire pour voter (8 % pour les
femmes non enregistrée, contre 5% pour les hommes) et moins susceptibles
de voter (68 % de femmes contre 73 %). Les femmes communiquent peu
avec les dirigeants et sont moins enclines à s'engager dans d'autres formes
de participation politique.


 Les femmes sont également confrontées à une discrimination généralisée
dans leurs occupations quotidiennes. Quatre africains sur dix (40 %) pensent
que les femmes sont «souvent» ou «toujours» traités injustement par les
employeurs. Un nombre similaire (41%) dit que les chefs traditionnels font des
1 Botswana, Cape Vert, Ghana, Kenya, Lesotho, Malawi, Mali, Mozambique, Namibie,
Nigeria, Sénégal, Afrique du Sud, Tanzanie, Uganda and Zambie
traitements injustes à leur égard, et un sur trois (33 %) affirme que la police et
les tribunaux ne traitent pas les femmes sur une base egalitaire.


 Près des trois quarts (72 %) des femmes dans 34 pays disent que les femmes
devraient avoir les mêmes droits que les hommes plutôt que d'être soumise à
la loi traditionnelle. Dans 15 pays 1 où Afrobaromètre a enquêté a propos de
l'égalité des droits depuis 2002, le soutien à l'égalité s’est accru, passant de 68
% en 2002 à 73% en 2012.


 De même, 68 % pensent que les femmes sont aussi capables que les hommes
d'être les dirigeants politiques, dans une proportion de 74% d’africains de l'Est,
mais seulement de 50 % de Nords-Africains.


 Pourtant, dans les 34 pays de l’enquête, 26 % des femmes ont déclaré ne
jamais avoir aucune éducation formelle, comparativement à 19 % des
hommes. Seize pour cent des hommes ont des études postsecondaires,
comparativement à seulement 11 % des femmes.


 Bien qu'un grand nombre parle de l’inégalité entre les sexes, la plupart des
gens (59%) disent que leurs gouvernements avancent «moyennement» ou
«très bien» dans l'autonomisation des femmes, avec une majorité dans 27
des 34 pays. Les exceptions notables sont le Nigeria et l’Egypte, où 65 % disent
que leurs gouvernements font des progrès «moyens » ou «négligeables » dans
l’autonomisation des femmes.


 Les femmes s'en sortent nettement moins en Afrique du Nord (Algérie, Egypte,
Maroc, Soudan et Tunisie). Ces pays ont collectivement les niveaux les plus
bas de soutien pour le leadership des femmes, et la plus haute fréquence de
la discrimination. Il existe également des écarts importants entre les hommes
et les femmes sur de nombreuses questions, y compris la capacité des
femmes à servir en tant que président ou premier ministre d'un pays musulman
(soutien de 55% chez les femmes, 36 % chez les hommes ) et le soutien à
l'égalité des droits pour les femmes dans la prise de l’initiative du divorce
(soutien de 56% chez les femmes, 39 % chez les hommes ).

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José Mourinho : Le Special One !

9 Avril 2014, 10:23am

Publié par HODA Kouakou Steve

José Mourinho : Le Special One !

Battus 3 buts à 1 au Parc des Princes le 2 avril 2014; on ne vendait pas cher la peau des Blues de José Mourinho ce mardi 08 avril. C'était mal connaître le Spécial One, comme Mourinho aime bien se fait appeler.

En fin tacticien, le Portugais a fait appel au génie de Eto'o fils pour la manche retour des 1/4 final de la Champion's League, après avoir à plusieurs reprises affirmer que son équipe n'avait pas d'attaquants à la hauteur de Ibra.

A l'entame de la rencontre, alors que son artiste Eden HAZARD se blesse, certains spécialistes ont tôt fait de dire que le malheur n'arrive pas seul. C'est en ce moment que José sort ces dernières cartouches : Il fait entrer Schûrrle et plus tard Demba Bâ. Les deux cartes gagnantes qui vont briser le rêve Parisien.

Battant le PSG au Stamford Bridge 2 buts à 0, Mourinho sauve une réputation qui lui est cher et cette fois avec la manière : Le Spécial One n'est jamais éliminé en quart de final de League des Champions !

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Fièvre Eboola : Nouvelles stratégies pour déstabiliser l’Afrique de l’Ouest ?

7 Avril 2014, 09:59am

Publié par HODA Kouakou Steve

Fièvre Eboola : Nouvelles stratégies pour déstabiliser l’Afrique de l’Ouest ?

L’Afrique de l’Ouest notamment la Guinée et le Libéria sont frappés par l’épidémie de la fièvre Eboola. En Guinée, la panique est à son comble a cause du virus Eboola. En effet, le mot ''Eboola'' outre le virus est une interjection guerzé (langue parlée au Libéria et au sud de la Guinée) qui évoque la stupeur, l'émotion, la panique, la joie... Ce virus est l'incarnation de la panique généralisée comme il est mentionné en langue Guerzé. Il a d'abord commencé par ravager la ville de Gueckedou avec plus 50 morts, ensuite Macenta avec plus d'une dizaine et l'hécatombe continue. Selon des Spécialistes en santé publique, le virus Eboola était loin de frapper la Guinée pour des raisons élucidées par ces Spécialistes.

Mais si la Guinée n'est pas une zone à risque pour ce virus, comment en est-il arrivé là?

On nous fait savoir que le virus Eboola est contracté à travers certains animaux tels que les singes, chauves-souris, rongeurs... Mais ces animaux ont ils pu traverser l'Afrique Centrale le foyer d'Eboola sans pour autant contaminer les pays sur son passage? Le black-out est total. De plus, les populations touchées sont des paysans qui est ont une faible mobilité et ne consomment pas de chauves-souris ni de singes. Quand des thérapeutes Guinéens crient sur les ondes du pays pouvoir soigner les victimes d’Eboola, c’est « Médecins sans Frontières » (MSF) qui les traite d’opportunistes. Pourquoi ? On se pose encore la question. Exacerbés et écœurés par les réactions de MSF, des populations de Macenta en Guinée (zone du sud, touchés par le virus) se sont violemment prises aux installations de MSF, accusant cette organisation internationale d’être l’auteur de ce fléau.

Il est tout de même important de rappeler que la Guinée est un pays immensément riche du point de vue de la richesse de son sous-sol. Il est aussi important également de rappeler que la sous-région ouest africaine est constamment menacée de déstabilisation pour ses richesses naturelles. Les crises de la Côte d’Ivoire, du Mali, du Biafra au Nigéria, du Libéria, de la Guinée, la Sierra-Léone, la Guinée-Bissau en sont une parfaite illustration.

Eboola, la grande psychose qui tourne aux dérapages !

La panique voire la psychose a atteint son paroxysme en Guinée et bien sûr en Afrique de l’Ouest et ailleurs dans le monde. L'exemple illustratif est l'incident du grand marché de Madina en Guinée où des voleurs ont simulé un malade atteint du virus dans ce lieu bondé de monde, la suite vous la connaissez. Ce n'est pas le seul cas, des passagers ont sauté d'une voiture tout simplement parce qu'un enfant aurait présenté des symptômes similaires à Eboola. La liste est loin d'être close. Il est vraiment déplorable quand les médecins se méfient des malades parce que ces derniers présentent des céphalées, vomissements, fièvres, palu... bref tout ce qui pourrait de près ou de loin ressemblé a cette peste. A cause de ce fléau, l’Arabie Saoudite a refusé le visa aux ressortissant Guinéens, Libériens et Sierra-Léonais. Dans les foyers, Eboola crée déjà des séparations.

De toutes les façons cet état de fait profite a certaines personnes qu'elles soient l'auteur ou pas. Pour le moment, c'est le peuple innocent de la Guinée qui paye le lourd tribu, naturellement comme d'habitude. Seul Dieu sait ce qui se passe réellement !

Fièvre Eboola : Nouvelles stratégies pour déstabiliser l’Afrique de l’Ouest ?
Fièvre Eboola : Nouvelles stratégies pour déstabiliser l’Afrique de l’Ouest ?

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Quand Intellect Consulting vous plonge dans l’Afrique de 2050

4 Avril 2014, 13:27pm

Publié par HODA Kouakou Steve

Quand Intellect Consulting vous plonge dans l’Afrique de 2050

Nous sommes en 2050 et cela fait 90 ans que la plupart des Etats africains sont indépendants. Les guerres et autres fléaux qu’ont connaissait auparavant ont disparu pour laisser place à une prospérité sans faille. Dans les consulats et autres services de l’immigration, les occidentaux se bousculent pour mettre pieds au continent des merveilles.

D’Abidjan à Lagos, l’autoroute construite par les Chefs d’Etats de la sous-région ouest africaine, quelques années avant la concrétisation de la nouvelle Unité Africaine (dirigée par une équipe de jeunes chefs d’Etats) permet à de nombreux touristes de visiter EKO Atlantic City. Cette belle cité appelé encore « Le Dubai de l’Afrique » est l’œuvre de deux architectes libanais à savoir Ronald et Gilbert Cahgoury.

De nouvelles politiques économiques

Sortis des prestigieuses universités africaines tels que l’Université Cape Town d’Afrique du Sud, l’Université Nelson Mandéla du Bénin, l’Université Cheick Anta Diop du Sénégal, l’Université du Caire d’Egypte, l’Université Makéréré d’Ouganda, l’Université Legone du Ghana… de jeunes économistes ont investi les institutions financières africains avec à la clé des politiques économiques nouvelles. Une économie purement africaine basée sur des théories autre que celles de Keynes ou encore d’Adam Smith a permis aux nouveaux cadres de remettre en marche la nouvelle économie africaine. Le Fond Monétaire Africain, nouvelle structure financière crée par les Chefs d’Etat de l’Unité Africaine accompagne les économies dans leur développement. Une nouvelle monnaie née de la fusion des trois zones monétaires à savoir Zone Monétaire Commune (Afrique du sud, Leshoto, Namibie et Shwaziland) ; zone CEMAC (Cameroun, République du Congo, Gabon, Guinée équatoriale, République Centrafricaine, Tchad et autres) et UEMOA (Bénin, Burkina Faso, Côte d’Ivoire, Guinée-Bissau, Mali, Niger, Sénégal, Niger, Togo et autres) a vu le jour.

Des infrastructures de qualité

Avec un système d’enseignement moderne reposant sur les réalités de leur milieu, l’ensemble des pays africains jouissent d’infrastructures impeccables. Salles de cours entièrement équipées d’outil multimédia, tableau tactile, écouteur pour traduction anglaise, française et autres, introduction de plateforme USMS, Quickgrub ; les élèves disposent de tout pour suivre les cours. Côté transport, pas de souci ! Les Etats de l’Unité africaine ont mis tout en œuvre pour faciliter la circulation des personnes et des biens.

Avec deux satellites installés, l’ensemble du continent bénéficie d’un haut débit. Des panneaux solaires installés un peu partout permettent aux populations de bénéficier de l’énergie en tout temps et en tout lieu. Pour bénéficier de l’eau potable tout en prenant soin de l’environnement, des règles minimales ont été mis en place pour favoriser des écosystèmes sains ; veiller à une utilisation plus efficace et plus productive de l’eau ; développer des systèmes de traitement et de recyclage. La gestion des eaux de surface et celle des eaux souterraines ont été intégrée dans la nouvelle politique de l’eau. La récupération des eaux pluviales, le dessalement et la réutilisation des eaux usées ont permis à de nombreuses personnes du continent de bénéficier de l’eau potable.

Si le Maroc a pu réussir une très belle organisation de la Coupe du monde 2030, c’est justement à cause du développement des infrastructures de jeux sur l’ensemble du continent. Ce qui a aussi permit à la Côte d’Ivoire et au Nigéria de remporter la coupe du monde 2024 et 2042. Cette année 2050, le Nigéria ira à la conquête d’un deuxième titre mondial. Le pays joue à domicile.

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Rapport du colloque international sur la microfinance tenu à Libreville

3 Avril 2014, 10:43am

Publié par HODA Kouakou Steve

Rapport du colloque international sur la microfinance tenu à Libreville

Du 27 au 29 Mars 2014, plusieurs discussions et échanges entre les chercheurs, les représentants des pouvoirs publics et les professionnels de la microfinance, ont constitué les activités du Colloque International de Libreville (CIL 2014). De ces travaux, il peut être dégagé plusieurs résultats qui sont les conclusions des réflexions :


1- La microfinance est un élément central dans les stratégies de lutte contre la pauvreté définies par les Etats. Bien que les mesures adoptées par les gouvernements tardent à être effectivement appliquées. La microfinance peut être également un levier du développement en assurant le financement du développement des petites unités de production. Toutefois, il est constaté un fort rationnement de crédit aux clients dans les IMF. Ce rationnement peut s’expliquer par plusieurs facteurs relatifs aux clients et aux EMF.


2- Les établissements de microfinance dans les pays du Sud rencontrent un ensemble de problèmes qui compromettent leur viabilité. Ces problèmes constituent des obstacles à l’atteinte des objectifs assignés à ces structures. Il s’agit principalement des problèmes managériaux (absence de la définition d’une stratégie, faible capacité des acteurs, etc.), de gouvernance (répartition non équilibrée des pouvoirs entre les acteurs au sommet hiérarchique de ces institutions, faible transparence des processus de gestion et de recrutement des dirigeants), de supervision lié à l’insuffisance de ressources (financières, logistiques et humaines), de refinancement, etc.


3- Les perspectives peuvent porter sur le renforcement des partenariats entre les IMF et les banques (les banques assureraient par ces partenariats le refinancement des IMF), le développement des capacités des acteurs par le développement des programmes de
Libreville, 27-28-29 mars 2014, la formation en microfinance, le renforcement du dispositif réglementaire, le regroupement de ces structures en réseaux, etc.


4- Les partenariats public-public, à partir d’une lecture des cas spécifiques, peuvent constituer une solution au problème de financement des services publics locaux dans les pays du Sud. Un passage au partenariat public-privé peut contribuer à renforcer l’efficacité de tels accords de coopération. Un partenariat entre les pouvoirs publics et les EMF peut encourager le développement de la microfinance et renforcer sa contribution au financement des pauvres.

Le prochain colloque est prévu pour mars 2015, cette fois-ci avec l'entrepreneuriat comme sujet central des discussions. Notons que le thème de cette année était : " "Regards croisés sur le développement en Afrique"

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