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developpement durable

MediCourse : la startup qui veut révolutionner les courses dans le domaine médical

3 Mai 2019, 00:03am

Publié par HODA Kouakou Steve

En Côte d’Ivoire, une startup est en train de voir le jour dans le domaine des courses médicales. Il s’agit de MediCourse fondée par Estelle Désirée Bly titulaire d’un Baccalauréat série A et ayant une expérience dans le domaine de la gestion commerciale.

Estelle Désirée BLY

MediCourse est une entreprise spécialisée pour les courses dans le domaine médical. L’idée est de réaliser les courses pour les malades ou personnes vulnérables qui ne sont toujours pas accompagnés ou dans un état critique. Lesquels ne peuvent aller chercher des médicaments ou autres, recommandés pour démarrer leur traitement et qui n’existe sur place. En effet, l’entreprise mène toutes les courses pour ces malades qui ne peuvent se déplacer pour aller chercher les médicaments nécessaires pour leur traitement. Le client paye ensuite une commission et les frais de transport au profit de l’entreprise. Il y est également greffé d’autres services connexes pour enrichir le modèle d’affaires de cette startup fondée par l’Ivoirienne  Bly Estelle Désirée.  Passionnée de transaction entre personne, Bly Estelle Désirée est titulaire d’un Baccalauréat série A. Elle est également passionnée des questions de santé et de prise en charge des malades. Très petite, elle aimait accompagner ses parents à l’hôpital et c’est l’expérience dans les centres de santé qui l’a inspiré à entreprendre. Notons qu’elle a servi en tant que Stagiaire en Transit et Douane. Elle fut également Bénévole du comité ivoirien d’organisation du Forum ICASA, qui est une plateforme ivoirienne d’échange sur l’amélioration des traitements des maladies vénériennes telles que le SIDA. C’est donc le souci de venir en aide aux personnes en situation difficile du point de vue sanitaire qui l’a emmené à devenir Entrepreneur. Sa motivation pour cette entreprise c’est tout d’abord d’être à la disposition des patients ainsi que les hôpitaux sur le plan national et international. C’est ensuite de voir ces patients moins stressés lors de leur présence dans les hôpitaux. Enfin, se mettre aux services des uns et des autres dans la réalisation des courses quotidiennes.

 

 

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Engagement citoyen et promotion de l'excellence : L’École de la Nouvelle Conscience lance une nouvelle série de formations

26 Décembre 2016, 08:30am

Publié par HODA Kouakou Steve

Promouvoir des cadres compétents dans tous les secteurs d’activité et œuvrer pour l’avènement d’un Bénin peuplé de bons citoyens, c’est l’objectif que poursuit l’École de la Nouvelle Conscience. Pr Narcisse Tomety, Directeur de l'Ecole de la Nouvelle ConscienceA cet effet, la structure lance à compter du mardi 27 décembre 2016 jusqu’au vendredi 30 décembre 2016, une série de formation qui aura lieu à son siège à Saint Michel.

Nouvelle Conscience dans le secteur de la santé, de l’éducation, de la sécurité, de l’agriculture ; résister à la corruption et au chantage, citoyenneté et civisme ; bien commun et égalité des chances, valorisation des potentialités locales ; devenir créateur par les doigts qui magnifient l’intelligence humaine, pérennité des entreprises de jeunes, cheminement pour devenir un acteur politique vertueux et pour répondre à un appel d’offres ; voici en quelque sorte le menu de la formation de décembre lancé par l’École de la Nouvelle Conscience. Cette formation se déroulera du mardi 27 au vendredi 30 décembre 2016 au siège de l’institution et réunira une centaine de participants. L’objectif poursuivi par l’École dirigée par le Professeur Simon Narcisse Tomety est de former des cadres compétents dans tous les secteurs d’activité et de participer à l’évènement d’un Bénin peuplé de bons citoyens. Et pour que cela puisse être possible, l’École de la Nouvelle Conscience a fait appel à des compétences avérées pour diriger les différents modules. On peut citer les Professeurs Fakambi, Euloge Ogouwalé, Marcel Baglo, Jeanne Zoundjihekpon, Simon Narcisse Tomety, et bien d’autres. Au rang des Docteurs, on note David Djanta, Patient Gandaho,..sans oublier des experts tels que Ousmane Aledji, Lambert Koty, Wilfried Léandre Houngbédji, André Sevo, Gustave Assa, Danielle Pliya, Alimatou Zohoun et autres qui ne manqueront pas de partager leur expérience. Retenons que la formation démarre à 9h pour prendre fin à 13 h. Les participants auront droit au développement d’un thème dans la première partie de la journée et deux autres après une courte pause.

 

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Après s’être endormi pendant plusieurs mois : La petite école a repris

7 Octobre 2016, 14:47pm

Publié par HODA Kouakou Steve

Après s’être endormi pendant plusieurs mois : La petite école a repris

Environ trois mois, l’école est restée fermée. Cahiers, stylos, crayons, uniformes ont laissé place aux vélos, ballons, jeux de divertissement et vacances qui, chez la grand-maman au village, qui chez l’oncle à l’extérieur. Finis les vacances, l’école reprend ce lundi 03 octobre 2016 sur toute l’étendue du territoire béninois.

« Pendant deux lunes toutes entières la petite école a dormi à l’étude, on ne pensait guère on jouait ! ce temps est fini, de nouveau l’école s’éveille, nous la trouvons laide et bien vieille. Chacun se dit, moi j’ai grandi, mais nous sommes encore petits. C’est la fin des belles vacances, c’est l’école qui recommence. Adieu beaux jours si tôt finis filles et garçons, pas de tristesse à l’école, on s’amuse aussi et l’on retrouve ses amis ». Voici la belle poésie de Victor Hugo qui rappelle la rentrée des classes. Cette rentrée, elle démarre ce lundi 03 octobre 2016 sur toute l’étendue du territoire béninois. Depuis quelques semaines déjà, enseignants, parents d’élèves, élèves et autres acteurs du système éducatif s’affairent afin de réussir cette rentrée académique 2016-2017 qui s’annonce comme un véritable défi pour tous les acteurs. En effet, les résultats catastrophiques des examens de fin d’année ont mis à nu les problèmes qui minent l’école béninoise. Ainsi, le gouvernement de Patrice Talon a pris ses responsabilités et des réformes ont été opérées dans le secteur. Sont-elles efficaces ? Vont-elles porter des fruits à la fin de l’année ? On attend de voir. Le moins qu’on puisse dire c’est que chacun doit jouer sa partition. Les élèves doivent apprendre leurs cours et attentifs aux enseignements de leurs encadreurs. Les parents d’élèves doivent suivre de près la progression de leurs enfants à l’école. L’enseignant doit comprendre qu’il est un éducateur qui a l’obligation de résultat. Les structures étatiques et leurs partenaires sociaux doivent veiller à limiter les grèves qui ont des conséquences graves sur les résultats académiques. Ne l’oublions pas : « Chaque enfant qu’on enseigne est un homme qu’on gagne. Quatre-vingt-dix voleurs sur cent qui sont au bagne. Ne sont jamais allés à l’école une fois, et ne savent pas lire, et signent d’une croix. C’est dans cette ombre là qu’ils ont trouvé le crime. L’ignorance est la nuit qui commence l’abîme. Où rampe la raison, l’honnêteté périt. Dieu, le premier auteur de tout ce qu’on écrit, A mis, sur cette terre où les hommes sont ivres, les ailes des esprits dans les pages des livres. Tout homme ouvrant un livre y trouve une aile, et peut planer là-haut où l’âme en liberté se meut. L’école est un sanctuaire autant que la chapelle. L’alphabet que l’enfant avec le doigt épèle contient sous chaque lettre une vertu ; le cœur S’éclaire doucement à cette humble lueur. Donc, aux petits enfants donnez le petit livre. Marcher la lampe en main pour qu’il puisse vous suivre. La nuit produit l’erreur et l’erreur l’attentat. Faute d’enseignement, on jette dans l’état des hommes animaux, têtes inachevées, tristes instincts qui vont les prunelles crevées, Aveugles effrayants, au regard sépulcral, qui marchent à tâtons dans le monde moral. Allumons les esprits, c’est notre loi première, et du suif le plus vil faisons notre lumière. L’intelligence veut être ouverte ici-bas ; le germe a droit d’éclore ; et qui ne pense pas ne vit pas. Ces voleurs avaient le droit de vivre. Songeons-y bien, l’école en or change le cuivre, tandis que l’ignorance en plomb transforme l’or !… »

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Selon un rapport de la Banque Mondiale : la pollution atmosphérique coûte 225 milliards de dollars à l’économie mondiale

17 Septembre 2016, 15:01pm

Publié par HODA Kouakou Steve

Selon un rapport de la Banque Mondiale : la pollution atmosphérique coûte 225 milliards de dollars à l’économie mondiale

La Banque Mondiale et l’Institute for Health Metrics and Evaluation (IHME) ont conduit une étude intitulée : « The cost of air pollution : Strenghtening the economic case for action ». Les résultats de cette étude sont sans appel : la pollution de l’air est la 4e cause de décès prématurés dans le monde. Les pertes de revenus du travail liées à ces décès sont estimées à environ 225 milliards de dollars, en 2013 indique l’étude.

La pollution de l’air représente la 4e cause de décès prématurés dans le monde. Les pertes de revenus du travail en 2013 liées à ces décès sont estimées à environ 225 milliards de dollars ; ce sont les résultats d’une étude conduite conjointement par la Banque Mondiale et l’Institute for Health Metrics and Evaluation (IHME). Intitulée « The cost of air pollution : Strenghtening the economic case for action, cette étude précise que les sources de cette pollution sont multiples et variées. On peut citer la poussière, la fumée, la saleté, les gouttelettes microscopiques, les gaz et surtout les métaux lourds. Ledit rapport fait également cas de 5,5 millions de personnes qui auraient perdu la vie en 2013 pour cause de maladies liées à la pollution atmosphérique extérieure et intérieure, des décès qui impactent le développement économique selon ce rapport. Il faut surtout souligner que les premières victimes de cette pollution sont les personnes âgées, les jeunes enfants, et en ce qui concerne les pertes de revenus du travail, causées par les décès liés à la pollution de l’air, représentent chaque année, l’équivalent de 0,61 % du PIB. Au moyen orient et en Afrique du nord par exemple, ces pertes s’élèvent à plus de 9 milliards de dollars. Loin d’être une étude de plus, ce rapport doit permettre aux autorités béninoises de prendre les mesures idoines pour assainir le cadre de vie des populations. À Cotonou par exemple où on enregistre des centaines de milliers de « zémidjans », on imagine l’ampleur des dégâts. Vivement que ce rapport incite le conseil communal à réagir.

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A la découverte du réseau Slow Food Bénin

30 Juin 2016, 09:37am

Publié par HODA Kouakou Steve

A la découverte du réseau Slow Food Bénin

Slow Food est une association internationale qui œuvre pour la sauvegarde de la biodiversité et la préservation des espèces autochtones (végétales, animales, halieutiques et nourriture en voie de disparition). Présente dans plus de 150 pays dans monde et comptant 100.000 membres, 2000 communautés de la nourriture du réseau Terra Madre et des millions d’activistes ; il est fondé en Italie en 1986 par Carlo Pétrini. Les actions de la structure se concrétisent à travers plusieurs projets :

  • Les 10 000 jardins (scolaires et communautaires) sont des modèles concrets d’agriculture durable, attentifs aux différentes réalités et facilement reproductibles.
  • Des Sentinelles : soutiennent les petites productions traditionnelles risquant de disparaître. Elles valorisent les territoires et travaillent à sauver de l’extinction des races autochtones et des variétés de fruits et légumes.
  • L’Arche du Goût : est un catalogue de produits traditionnels courant un danger de disparition: légumes, légumineuses, céréales, fruits, races animales, mais aussi produits transformés (pain, semoule, épices…). L’Arche africaine a déjà sélectionné une centaine de produits.
  • L’Alliance Slow Food est un réseau de chefs utilisant et valorisant les produits de leur territoire. La première Alliance africaine est née en 2013au Maroc.

Il s’agit de marchés paysans où l’on ne trouve que des produits locaux et de saison, présentés et vendus par leurs producteurs. Le premier Marché de la Terre africaine est né à Maputo au Mozambique. Pour Slow Food, la nourriture doit être bonne et née du savoir de celui qui la produit. Elle doit être propre, car elle respecte la terre qui l’a fait naître et pense à la santé de ceux qui la produisent et la consomment. Elle doit être juste, car elle est solidaire de celui qui travaille, qui connaît la valeur de la tradition et la richesse de la diversité.

Slow Food promeut ainsi dans le monde entier une agriculture basée sur la connaissance du territoire et sur le respect de l’environnement, de la biodiversité et des cultures locales. Elle est représentée au niveau local par des conviviums Slow Food qui sont des groupes de personnes (cultivateurs, éleveurs, pêcheurs, chefs, enseignants, étudiants, journalistes, médecins etc.) qui promeuvent sur leur territoire la philosophie de l’association.

Depuis 2004, le Bénin fait aussi partie du réseau Slow Food International. Les différents conviviums se trouvant dans le pays ont décidé de se mettre ensemble pour une meilleure organisation de leurs activités à travers une rencontre nationale et la création du Collectif des conviviums Slow Food au Bénin. Cette rencontre s’est tenue à Savalou les 10 et 11 juin 2016 et a réuni vingt-trois (23) délégués représentant huit conviviums sur le territoire national. Cette rencontre a abouti à la mise en place du Collectif Slow Food Bénin dont les différents organes se présentent comme suit :

Le Conseil d’Administration (CA)

  • Président : ATTOLOU Bruno
  • Vice-Président : AHONONGA Noel Comlan
  • Secrétaire : N’SOUGAN C. E. Ambroise
  • Secrétaire adjoint : KOUGBLENOU Vianio Do Capio
  • Trésorier : AHOSSOUHE M. Duince Yesket
  • Trésorier adjoint : N’TCHA Emmanue

Le commissariat aux comptes (CC)

  • OBALE Maurice
  • DAKO Mathias

Le Bureau Exécutif (BE)

  • Président : ATTOLOU Bruno
  • Secrétaire : N’SOUGAN C. E. Ambroise
  • Trésorier : AHOSSOUHE M. Duince Yesket

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Kidnapping de 230 filles au Nigéria : la grande hypocrisie ! (On profite du malheur des autres pour se faire une nouvelle image)

10 Mai 2014, 11:39am

Publié par HODA Kouakou Steve

Kidnapping de 230 filles au Nigéria : la grande hypocrisie ! (On profite du malheur des autres pour se faire une nouvelle image)

Le 14 avril 2014 dans l’État de Borno plus précisément à Chibok en République Fédérale du Nigéria, 230 lycéennes ont été kidnappées par le groupe terroriste Boko Haram. Un triste évènement qui intervient alors même que le Nigéria est devenu le pays le plus puissant en Afrique sur le plan économique.

Si auparavant, le groupe s’attaquait à une certaine cible, on comprend bien que Boko Haram semble désormais changer de stratégies, lesquelles ?

Pourquoi Boko Haram s’attaque à des écoles ?

En langue Haoussa, Boko Haram signifie : l’éducation occidentale est un péché. Et c’est justement pour cette raison que le groupe terroriste s’attaque le plus souvent à des écoles. Depuis l’année 2009, l’insurrection de cette bande de terroristes a fait des milliers de morts. Cette ième tentative de déstabilisation de l’éducation nationale nigériane semble donner un signal fort dans le combat de Boko Haram contre l’occident. En effet, la question de la fille semble sensible, et donc le groupe en enlevant 230 filles veut bien se faire entendre.

Vaque de consternation

Plusieurs stars du cinéma et même de la scène politique à l’instar de Michelle Obama ont lancé une campagne à travers lequel on peut lire : « Bring back our girls », ce qui signifie ramenez-nous nos filles. Et depuis, de nombreuses stars ont profité de la situation pour se refaire une image. Faudrait-on attendre un évènement aussi tragique pour communiquer ? Tout le monde savait que Boko Haram était une menace pour l’éducation, mais aucun message de ces stars ne pointait à l’horizon. On peut également se poser la question de savoir comment Boko Haram s’arme et que les grandes puissances n’y ont rien fait pour mettre un terme ? Une chose est sûre : on profite du malheur de ses filles pour faire du business !!!

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Pour la démocratie et la Paix en Afrique : L’ONG DDM crée les ambassadeurs de la Paix au Bénin

18 Novembre 2013, 14:29pm

Publié par HODA Kouakou Steve

Pour la démocratie et la Paix en Afrique : L’ONG DDM crée les ambassadeurs de la Paix au Bénin

Contribuer à la promotion de la bonne gouvernance et à celle de la paix dans le monde et en particulier en Afrique, c’est la raison de la création de l’ONG « La démocratie dans le Monde (DDM)». Basée à Porto-Novo, cette Organisation Non Gouvernementale béninoise crée en 2010 se veut un pôle d'actions qui vient s’inscrire dans le cadre des initiatives des Nations Unies pour la paix dans le monde et pour la Bonne Gouvernance. A ce titre, Démocratie dans le Monde (DDM) soutient activement les actions des gouvernements allant dans le sens de la bonne gouvernance ainsi que celles qui favorisent la paix.

Et pour ce faire, l’ONG a innové en initiant ce qu’elle a appelé « les ambassadeurs de la Paix ». Ce sont en effet, les meilleurs élèves sélectionnés dans les écoles de la ville de Porto-Novo, capitale du Bénin. Ces derniers sont périodiquement formés sur les vertus de la paix et notions de la démocratie afin de les véhiculer dans leur environnement immédiat.

Notons que l’ONG DDM a entrepris plusieurs projets au Bénin dont « Ifokanbalè = paix et conscience citoyenne », « The Meal », « Mérite »…Elle prépare en collaboration avec l’Association des Volontaires du Développement Durable (AVD-Bénin), l’Alliance Internationale pour les Objectifs du Millénaire (AIODM-Bénin) la première édition en Afrique de la NOEL ECOLO_NOEL VERTE (NOE-NOVA).

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Comment et pourquoi nomme t-on les ouragans?

13 Novembre 2013, 11:31am

Publié par HODA Kouakou Steve

Comment et pourquoi nomme t-on les ouragans?

Le typhon Haiyan survenu aux Philippines a crée une vague de consternation dans le monde. Plus de 10.000 morts et environ 200.000 personnes sinistrées sans oublier les personnes disparues et les dégâts matériels. A l'instar de bien d'autres qui ont crée la désolation dans d'autres pays dans le monde (les cas de Haiti et autres), beaucoup se demandent comment et pourquoi nomme t-on les ouragans? Nous vous fournissons quelques explications.

Les ouragans ont commencé par être nommé par les spécialistes dans le but de faciliter la communication entre ces derniers et aussi avec le public. C'est aussi pour mieux planifier les prévisions, la surveillance de ces ouragans et surtout avertir le grand public. En donnant un nom à un ouragan, il y a moins de risque de confondre les différentes tempêtes. Au début plus précisément avant l'année 1950, les noms des ouragans étaient formés d'une autre manière. On prenait l'année au cours de laquelle la tempête survenait, suivie d'une lettre de l' alphabet (par exemple : 1940A, 1940B etc.). Aujourd'hui, ce sont des noms de personnes qui sont utilisés. Que ce soit un nom d'homme ou de femme, cela est plus simple, plus rapide et cause moins d'erreur pour les scientifiques.

Chaque saison de l'année donc, on prépare une liste de noms potentiels pour les ouragans à venir. La liste contient en effet, chaque lettre de l'alphabet, il est exclut Q, U, Y, Z car moins de noms débutent par ces lettres. Tous les six ans, ces listes sont révisées et les noms déjà utilisés sont aussitôt remplacés. Sachez que les noms des ouragans importants sont retirés des listes (c.-à-d. qu’ils ne servent que pour un seul ouragan) si la tempête risque de demeurer dans les mémoires à cause des dommages ou des décès qu’elle a causés. En retirant le nom d’une tempête importante, on évite la confusion avec une ancienne tempête bien connue et une tempête actuelle.

Vous connaissez à présent comment et pourquoi nomme t-on les tempêtes ! Ne soyez donc pas surpris la prochaine fois d'entendre l'ouragan STEVE!

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Lancement en Afrique de Noël écolo : le Préfet de l'Ouémé-Plateau donne le top ce 23 octobre

22 Octobre 2013, 12:14pm

Publié par HODA Kouakou Steve

L'Association des Volontaires du Développement Durable (AVD-Bénin) et l'ONG la Démocratie dans le Monde (DDM) lance la première édition de la Noël Ecolo_Noël Verte Afrique (NOE-NOVA). La cérémonie est prévue pour se dérouler le mercredi 23 octobre 2013 au Complexe scolaire d'ITATIGRI à Porto-Novo en présence des autorités préfectorales de l'Ouémé-Plateau, du Commissariat Central et de la Mairie de Porto-Novo.

 

NOÉ – NOVA est un projet qui consiste à partager le repas bio de Noël avec les écoliers et élèves méritants du Bénin. Le projet prévu pour se dérouler cette année dans 3 pays dont le Bénin, le Burkina-Faso et le Togo, permet également de mettre la joie bio de Noël dans le cœur des enfants défavorisés et leur distribuer des cadeaux écolo. Le kit écolo est composé d'un plant d'arbre fruitier, d'un mini arrosoir, d’une mini poubelle et d’un emballage de jeux écolo-éducatifs. L'objectif de ce projet est de permettre aux enfants à parents démunis du Bénin, de célébrer une fête de Noël Instructive, Verte & Durable, et surtout de « sensibiliser les écoliers / élèves et leurs parents sur la nécessité et l’urgence de protéger l’environnement, d’aller à l’école et de se nourrir bio et sainement.

 

NOÉ – NOVA permet également d'inviter  les ingénieurs africains à concevoir dorénavant des jeux écolo-éducatifs, de protéger l’Homme et son Environnement via la promotion d’Entreprise Éco-Citoyenne et de promouvoir une Démocratie Verte à la base. Il vise à accompagner le projet du Président Yayi Boni « 10 millions d'âmes = 10 millions d'arbres ».

 

Initié par l'Association des Volontaires du Développement Durable du Bénin (AVD-Bénin) et L'ONG la Démocratie dans le Monde (DDM), le projet est piloté au Bénin par ses deux organisations. Au Burkina-Faso, c'est la Jeunesse Étudiante Catholique (JEC) qui assure le pilotage pendant que CAFE-BCG s'en charge du pilotage au Togo. Notons enfin que la marraine de l'évènement est Jenny Jo DELBLOND, PDG de TALENTS UNIQUES en France.

Ensemble pour un monde plus vert!

Ensemble pour un monde plus vert!

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Promotion de l'énergie solaire : Des bus électriques à l'Université Félix Houphouêt Boigny d'Abidjan

18 Octobre 2013, 16:52pm

Publié par Steve HODA

Promotion de l'énergie solaire : Des bus électriques à l'Université Félix Houphouêt Boigny d'Abidjan

L'université Félix Houphouêt Boigny d'Abidjan se met à l'ère de la modernité. Après avoir accueilli un investissement de 100 milliards de francs CFA pour sa rénovation au lendemain de la crise post-électoral, la doyenne des universités ivoiriennes s'est doté de deux bus électriques. Cet équipement de dernière génération qui place la côte d'Ivoire au rang de premier pays africain à se doter d'un tel matériel est un investissement du groupe Bolloré. Véritable révolution et une innovation majeure sur le continent africain, ces bus ont pour mission de transporter les étudiants sur les différentes facultés. Le choix de bus électriques réside dans l'ambition des autorités ivoiriennes de lutter contre les facteurs de nuisance et de pollution de toutes natures sur les campus universitaires de ce pays. Notons que la Côte d'ivoire pour ce projet a bénéficié d'un investissement de 1,2 milliards FCFA dont de 288 panneaux solaires offerts pour générer et stocker l'électricité et surtout pour recharger les bus. Le groupe Bolloré promet de faire venir d'autres bus de ce type pour faciliter le transport des étudiants ivoiriens.

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