stevehoda.over-blog.com

Le nombre de boursiers et secourus des universités du Bénin seront désormais connus d’avance. Ainsi en a décidé le gouvernement béninois pour rationaliser les ressources publiques en connaissant en avance le nombre exact.

Quand on est un pays pauvre avec des ressources limitées, il faut les gérer de façon efficace. C’est ce que fait le gouvernement béninois qui a décidé de définir en avance le nombre exact de boursiers. La philosophie de cette décision est de rationaliser les ressources, de permettre effectivement aux étudiants de bénéficier des aides de l’Etat et mettre fin au détournement de fonds. Ainsi pour la première année et pour les facultés, la cagnotte est comprise entre 200 et 700 ; entre 1000 et 2000 pour les secourus. Avec une telle décision donc, les étudiants ayant 10 de moyenne peuvent se voir bénéficier des aides universitaires. Selon les informations que nous avons reçues, c’est une décision qui n’est pas accueilli avec grande joie dans le milieu estudiantin chez certains étudiants.  Mais à y voir de près, elle est bénéfique pour l’étudiant qui pour des raisons ou autres ne touchent pas son argent. En effet, la non maitrise exacte du nombre de boursiers ouvrait la voie à des détournements de fonds qui avaient des conséquences graves sur les ressources publiques. Autre chose : il reste inconcevable que la bourse qui est sensée soutenir l’étudiant durant son année académique lui ai payé en fin d’année. Le gouvernement qui s’engage sur la voie de l’amélioration des conditions de vie de l’étudiant doit désormais penser comment aussi agir sur la logistique dans les salles de formation. A l’ère du numérique et des grands enjeux du développement durable, il faut des salles de cours moins pléthoriques avec des équipements modernes. Ce qui donnera du sens à la décision de fixer le nombre de boursiers en avance.

Pour sa transparence dans la gestion budgétaire, le bénin a été identifié comme un pays modèle à l’occasion du séminaire régional sur la transparence budgétaire en Afrique francophone, tenu à Dakar du 31 janvier au 1er février 2019. Co-organisé par le Fonds Monétaire International (FMI) et l’Union Européenne (UE), cette rencontre internationale au cours de laquelle le Ministre Romuald Wadagni a pris part a permis d’apprécier les efforts du Bénin en matière de bonne gouvernance.

Identifier les meilleures pratiques nécessaires à une bonne gouvernance en Afrique francophone ; c’est l’objectif autour duquel s’est organisé le Séminaire Régionale sur la transparence budgétaire tenu à Dakar du 31 au 1^er février 2019. C’est au cours de cette session que le Bénin a été identifié comme modèle en Afrique Francophone. En effet, le Bénin fait partie des rares pays dans lesquels la production et la diffusion des documents budgétaires sont de qualité et produits à bonne date. Au Bénin également, le citoyen est très bien impliqué  dans la prise de décision et la reddition régulière des comptes. Outre les pratiques standards recommandées par les institutions internationales telles que le FMI et l’OCDE, les acquis du Bénin ont été appréciés par les pays participants. En effet, les partenaires techniques et financiers ont salué les efforts du pays. Le Bénin classé 2^ème derrière le Sénégal en Afrique francophone lors de l’évaluation de 2017 de l’International Budget Partnership (IBP) passe au premier plan. Et pour que le Bénin en soit là, il a fallu des innovations et réformes courageuses de l’administration Talon. Le régime de la rupture a fait de la bonne gouvernance son cheval de bataille. C’est pourquoi, il a été initié l’alphabétisation budgétaire au profit des apprenants. C’est une initiative qui a permis de former une nouvelle génération d’hommes conscients de son droit à l’information et donc apte à dire stop à toute forme de corruption. L’Etat a également renforcé  l’implication de la société civile dans le cycle budgétaire. Il s’agit de la planification, l’élaboration du budget, l’exécution ainsi que le contrôle. Chaque année, un arrêté ministériel est pris pour définir les étapes d’intervention des Organisations de la société civile (OSC). Sur 15 étapes, les OSC interviennent sur une dizaine au Bénin contre une moyenne de 2 pour les autres Etats. Notons que le Bénin s’est déjà mis au pas dans l’approbation des lois de règlement et envisage faire de même pour l’apurement définitif des comptes. Des actions à encourager et vivement que cette place du Bénin soit maintenue. On peut donc dire sous Talon que : Bénin is back !
 

La Fondation Tony Elumelu a lancé ce 1^er janvier 2019, la 5^e phase de son programme d’entrepreneuriat. Au Bénin, l’heure est à la mobilisation générale pour permettre au pays d’avoir beaucoup de jeunes qui participent à ce programme. Ainsi, les Alumnis béninois du programme multiplient les actions sur le terrain pour faire connaitre le programme.

Depuis le mardi 1^er janvier 2019, le programme d’entrepreneuriat de la Fondation Tony Elumelu est entré dans sa phase 5. Il est prévu cette année la sélection de 1260 jeunes sur tout le continent africain. Au Bénin, le réseau des Alumnis du Programme se mobilisent sur le terrain pour sonner la grande mobilisation. Ainsi, une tournée nationale est lancée dans tout le pays pour permettre à tous les jeunes béninois de connaitre et participer au programme. Déjà, les communes de Cotonou, Seme Podji, Parakou, Abomey-Calavi et Kétou ont déjà accueilli la délégation du Renateb. En effet, c’est devenu une tradition depuis l’année 2018 de rassembler en un lieu dans tout le pays des jeunes pour leur expliquer le bien-fondé et comment ils peuvent postuler au programme Tony Elumelu Entrepreneurship. Cette sensibilisation porte la marque du Réseau National des Alumnis du Programme TEE (RENATEB) dirigé par Steve HODA, CEO de la Startup AfriRice Agrobusiness. L’an dernier, cette tournée s’est effectué dans 9 communes du Bénin et a mobilisé plus de 1000 jeunes. Volontairement et avec leur propre moyen, les Alumnis se sont dispersés partout dans le pays et cela a eu des résultats satisfaisants puisque pour la première fois, le Bénin a obtenu 34 lauréats. C’est pour rééditer cet exploit que le Réseau s’organise encore cette année. Et déjà, un formulaire a été lancé pour toutes les personnes qui désireraient accueillir une formation dans sa ville. Le succès est impressionnant : plus de 216 réponses en moins d’une semaine et plus d’une douzaine de communes désireuses de recevoir les formations. Dans les très prochains jours donc, les Alumnis actuellement engagés à répondre aux préoccupations des internautes béninois sur le programme, seront dans d'autres villes du pays pour former et sensibiliser leurs jeunes frères sur le programme. Notons que pour la première année en 2015 le Bénin a enregistré 10 lauréats, 4 en 2016, 20 en 2017 et 34 en 2018. Avec le partenariat établi entre le centre Seme City et la Fondation Tony Elumelu, la participation béninoise prend une toute autre tournure dans l'histoire de ce programme. Il est en effet prévu la sélection supplémentaire de 50 Béninois qui bénéficieront d'une incubation à Seme City, qui a mobilisé 250.000 dollars à cet effet. Inspiré par le fondateur de la philosophie économique Africapitalisme Tony Elumelu et sa vision de créer une génération d’entrepreneurs africains, la Fondation Tony Elumelu a été fondée en 2015 et est devenue la principale entreprise philanthropique axée sur l'entrepreneuriat en Afrique. Dans la poursuite de ses objectifs, la Fondation a mis en œuvre l’un des programmes d’entrepreneuriat les plus ambitieux du continent: le programme d’entreprenariat TEE; un engagement de 100 millions de dollars sur 10 ans pour identifier, former, encadrer et financer 10 000 entrepreneurs pour le développement économique de l'Afrique. Son but est d’investir dans des entreprises qui généreront au moins 1 000 000 de nouveaux emplois et contribueront au moins à 10 milliards de dollars de nouveaux revenus annuels en Afrique. La Fondation, qui en est à sa cinquième édition, a permis ainsi à 4 460 entrepreneurs de réaliser un investissement total de 20 millions USD. 4 000 ont été financés directement par la Fondation, tandis que 460 ont été financé par ses partenaires.

Le  Gouvernement béninois a décidé de mettre un terme à l’obligation faite aux entreprises nouvellement créées de déclarer leur existence légale aux services des impôts. La nouvelle a été rendue publique par le biais d’une note circulaire signée de Romuald Wadagni, Ministre de l’Economie et des finances. Une décision qui permettra d’améliorer le classement du Bénin dans le prochain rapport Doing Business.

Selon les dispositions du Code général des impôts, les entreprises nouvellement créées disposent d’un délai de 30 jours pour déclarer officiellement leur existence aux services des impôts. Le non-respect de cette obligation exposait  ces unités naissantes à de lourdes sanctions. Cette formalité est désormais un vieux souvenir pour les créateurs d’entreprises. En effet, par la note circulaire N°154/MEF/DC/SGM/DGI/CSC du Jeudi 24 Janvier 2019 signé par le Ministre de l’Economie et des finances Romuald Wadagni, le Gouvernement met fin à cette obligation légale pour compter du 1er Février 2019. Quand on sait que cette disposition à elle seule freinait l’ardeur des créateurs d’entreprise, on peut dire que c’est désormais un ouf de soulagement pour de nos nombreux jeunes béninois. En effet, la suspension de l’obligation de de déclarer au fisc son entreprise à sa création, va booster la dynamique entrepreneuriale au Bénin. Ce qui devra à coup sûr améliorer le rang du Bénin dans le prochain rapport Doing Business. Ces dernières années, plusieurs réformes sont lancées par le régime de la Rupture pour renforcer le climat des affaires et permettre la création d’emplois décents au profit de la jeunesse. Il faut dire que la question du chômage est l’un des problèmes qui minent la plupart des sociétés africaines au Sud du Sahara. Elle est la résultante de l’accroissement des réseaux terroristes animés par des jeunes en perte de repère et en quête d’un monde meilleur. Notons que  désormais,  la déclaration d’existence sera faite à l’occasion des formalités de création des entreprises au Guichet unique de formalisation des entreprises (Gufe) de l’Agence de Promotion des Investissements et des Exportations (Apiex).

Les performances économiques du Bénin sur le plan international ne cessent de faire échos. Cette fois-ci, c’est le magazine américain Forbes qui nous apprend que le Bénin est classé 19^e sur le plan africain et 3^e dans la zone Uemoa pour ses efforts pour faciliter les affaires sur son sol.

En moins de trois années de gouvernance, le régime de Patrice Talon affole les statistiques économiques. Le pays enregistre des performances qui continuent de séduire différentes structures sur le plan international et régional.  En effet, selon le Magazine Américain Forbes, le Bénin a enregistré de belles performances sur la facilité à faire des affaires au cours de l’année 2019. Ainsi, grâce aux réformes entreprises, le pays occupe la 3^e place dans l’espace Uemoa et 19^e sur le plan continental. A l’échelle mondiale, le Bénin se retrouve à la 118^e place sur un total de 161 pays. On peut donc dire qu’en dehors du Sénégal et de la Côte d’Ivoire qui sont des géants de l’Uemoa, tous les autres pays se retrouvent derrière le Bénin. Et pour sortir ces chiffres, les organisateurs de ce rapport ont étudié 15 indicateurs au nombre desquelles on peut citer le droit de propriété, l’innovation, les taxes, la corruption, la liberté (personnelle, économique et monétaire), la bureaucratie et la protection des investisseurs, la disponibilité de la main d’œuvre, les infrastructures, la taille du marché et la qualité de vie. Des indicateurs prises en compte dans les reformes structurelles prises par le Président Patrice Talon et qui sont en train de changer la qualité de vie des populations. Sur le plan de la corruption, il faut dire qu’un grand travail a été abattu depuis l’avènement du régime de la rupture. La lutte contre ce fléau, la traque des faux diplômes et l’annulation des concours frauduleux, la promotion de l’entrepreneuriat ont tôt fait de tuer l’esprit bureaucratique au Bénin. Quant à la qualité de vie, la main d’œuvre et les infrastructures, personne ne peut nier que de belles choses sont en train d’être faites ; en témoigne les projets de réalisation de stades et d’asphaltage sans oublier l’interdiction des sachets plastiques et la gestion de la sécurité des populations. Au Bénin, on n’oublie pas de noter que l’accès au crédit, à la sensibilisation ont été amélioré ainsi que l’exécution des contrats facilités à travers l’adoption d’une loi qui réglemente tous les aspects de la médiation comme alternative de résolution des litiges. La loi votée sur l’embauche est une révolution au Bénin et qui confirme la liberté économique et la protection des investisseurs.

Rendre disponibles des statistiques complètes, répondant aux normes de qualité requise et accessible à tous les acteurs ; c’est l’objectif que s’est fixé le  gouvernement béninois en lançant le Recensement National de l’Agriculture (RNA). Une originalité du régime de la rupture qui va transformer le secteur agricole béninois.

Combien de producteurs  de riz comptent le Bénin ? Connaissez-vous le nombre exact de cheptels présent sur le sol béninois ? Quelle est la superficie exacte de champs d’ananas que compte le Bénin ? Nous mettons au défi quiconque pourra donner une réponse exacte à ces différentes interrogations. Et pourtant, il est nécessaire de disposer des informations fiables sur la typologie qualitative et quantitative dans ce secteur pour prendre de meilleures décisions. C’est donc pour pallier à cela que le régime de la rupture a lancé le Recensement national de l’Agriculture (RNA). Ainsi, en 36 mois environ, 5600 agents recenseurs, 1200 agents cartographes, 1400 contrôleurs encadrés par 27 coordinateurs de zone seront déployés dans les villages et hameaux, collecteront auprès des ménages les données structurelles sur l’agriculture, l’élevage, et la pêche, la transformation et la commercialisation des produits agricoles. Estimé à un coût global de 7,8 milliards de francs CFA, cette opération qui est un projet prioritaire du Programme d’Action du Gouvernement (PAG) permettra de collecter des informations fiables sur tout ce qui touche à l’activité agricole, y compris les statuts professionnels du secteur, afin d’identifier les différents problèmes qui entravent le développement du secteur et d’apporter des solutions appropriées. Pour les startups et les entreprises exerçant dans le secteur de l’agrobusiness ou encore les décideurs agricoles, c’est une bonne nouvelle. Etant donné que cela permettra à ces derniers de fonder leurs analyses sur des chiffres exacts et faire des prévisions sans risque de se tromper. Pour l’Etat, lui-même les données collectées permettront de prendre des mesures justes pour résoudre des problèmes précis. Le régime de Patrice Talon a promis de changer structurellement l’économie du Bénin. Ce qui passe par une autonomie énergétique ; le renforcement de la sécurité et la lutte contre la corruption qui est fondamentale pour y parvenir. La maitrise des statistiques nationales est également un aspect très important pour réussir à transformer une économie ; ce qui est bien comprit par le Chef de l’Etat béninois qui a véritablement fait l’option de poser les fondements du développement du pays. Et s’investit dans le secteur agricole, c’est le meilleur choix à faire car le succès d’un pays en développement repose toujours sur l’agriculture.

Au cœur de la capitale économique du Bénin se dresse la boutique « Perlicious ». Une boutique de mode qui donne un grain de beauté aux femmes avec une touche particulière : les pierres.  Derrière ce chef d’œuvre, se cache une dame de cœur Sarah Codjo. Pionnière de la mode inclusive et luxueuse, elle a déjà habillé de nombreuses personnes, en Afrique, en Europe et en Amérique du Nord. Les dernières prouesses en date, un défilé à Londres en Mai, et en Novembre dernier dans la métropole nigériane Lagos .

Mais ce qu’on ne sait pas de cette belle dame est qu’elle contribue à donner de la joie à des personnes à la quête du savoir. Depuis 3 années déjà, Sarah Codjo a aidé une dizaine de jeunes béninois à terminer leur scolarité. Au nombre de ceux-ci dont nous n’allons pas dévoiler l’identité ; 3 dont 2 femmes en passe aujourd’hui de décrocher leur licence ; 10 au total vont se présenter au BTS cette année.

Un geste de grand cœur qui sera honoré et salué par deux structures nigérianes ce 01 Décembre 2018. En effet, Sarah Codjo a reçu le prix International de Philanthrope dans l’éducation. Une distinction qui récompense des jeunes entrepreneurs africains pour les actions dans l’éducation et dont voici les critères :  le niveau d’éducation de l’entrepreneur, l’aspect bilingue de l’entrepreneur, l’impact sur la société en général et le domaine d’activité en particulier ; la propriété intellectuelle de sa marque, l’existence d’un emplacement commercial physique et d’une boutique en ligne active.

Notons que Sarah Codjo a été distingué en 2016 par la JCI parmi les 10 jeunes les plus remarquables du Bénin et la marque Perlicious a encaissé de nombreux trophées aussi . Entrepreneure rigoureuse, elle rêve de voir ses concitoyens terminer leurs études pour servir humblement leur pays.

Les rideaux sont tombés ce dimanche 29 juillet 2018sur la sixième édition du championnat national de Maracana édition 2018. ABAM sort vainqueur dans la catégorie Sénior, Rafales dans la catégorie Super Sénior (Vétérans) et Maracana Club de l’Amitié (MCA) qui monte sur le podium chez les Opens.

Pari gagné pour la Fédération Béninoise de Maracana (FEBEMA) dirigé par son président Philippe Totonde. En effet, la sixième édition du championnat national de Maracana a connu son épilogue ce dimanche 29 juillet 2018. On retiendra donc que dans la catégorie Open, les hommes du Président Farel Atchadé ont arraché le titre. Ils conservent ainsi le trophée pour la deuxième année consécutive. Et pour y parvenir, ils ont dû batailler dur, quatre matches dont 3 victoires dans le jeu et une victoire au tir au but face à leur rival de tous les jours ABAM. Dans la catégorie des Séniors, on retient que l’équipe Sacr vainqueur de l’édition 2017 perd sa couronne au profit d’ABAM qui a littéralement dominé la compétition. Les hommes d’Achille Adoko montent ainsi sur la plus haute marche du podium. A l’issu d’un match épique face à leur rival MCA, ils ont dû prendre très rapidement une option pour le titre. S’agissant des Super séniors ou encore des Vétérans, c’est Rafales qui enlève le titre. Ce fut donc une belle organisation de cette édition qui s’est déroulé dans un bel esprit comme le dit le slogan du Maracana : Convivialité-Fraternité et Amitié (CFA). Les yeux sont désormais tournés vers la 7^e édition qui devra confirmer la maturité de la Fédération Béninoise de Maracana. Mais bien avant, le Bénin engagé dans les catégories Séniors et Super sénior au niveau continental prendra part à la Coupe d’Afrique des Nations de Maracana qui aura lieu du 22 au 30 septembre 2018 dans la capitale économique de la Côte d’Ivoire. Les Ecureuils du Maracana doivent défier les Eléphants champions en titre dans les deux catégories et qui ont barré l’an dernier la voie  du sacre aux Ecureuils dans la catégorie sénior.

1- Build your victories on your failures

Failure is the Father of Success, they say. One must learn from one's mistakes to build one's successes. This France, which lost the Euro two years ago, is the one who is crowned world champion.

2- Experience always makes the difference

With an average age of around 30, Croatia went to get its ticket for the final thanks to the experience of its players. On three occasions, she emerged victorious after having played 120 minutes of play. For the Manager, it is therefore important to trust experienced people.

3- Strategy is important to win challenges

Southgate, the coach of England went for the strategy of kicking stopped in the NBA. This strategy of players lined up before the execution of a set kick allowed the Tree Lions to score 9 times and thus snatch the 4th place of the world. Strategy is important to win.

4- Use models that work elsewhere

Do not hesitate to look for models that work elsewhere to define your strategy. Indeed, it is the method of the English coach Southgate which was used by the French players on the action which caused the penalty. And that's what was the turning point of the game. Use models that work and are adapted to your context.

5- You must be persevering, never give up

Belgium's comeback against Japan and Korea's win over Germany are certainly the two matches that will remain in the minds of soccer fans. These matches showed the strength of character of people who never give up. Make perseverance a cardinal value.

6- Never be distracted by critics

"He did not think it was impossible and they did it", it's a quote from Marc Twain that shows you have to go all the way without fearing criticism. That's exactly what Didier Deschamps did. Much criticized, he remained focused on his objectives and it is he who offers the second coronation to France.

7- Sanitize the environment

France is wrong or through, is considered the sixth African nation in the world precisely because it abounds many players of African descent. They do not necessarily have the talent of Salah or Mané but evolves in environments conducive to success. It is therefore necessary to clean up its environment to aspire to success.

8- Always stay focused

This 2018 world debut recorded a lot of goals in the final minutes of the game. The African nations have been the most victim of these hold-ups. And the reason: lack of concentration. We must always stay focused when we aim for a given goal.

9- The strength of leadership

I (Steve HODA) was particularly seduced by the leadership of Cristiano Ronaldo, the Croatian coach, Paul Pogba in the locker room and on the field and of course Didier Deschamps. We saw the Croatian Coach serene and at the end of the match go remobilize and cheer his players. The leader is the one who inspires, who motivates, who soon bangs on the table like the expulsion of a undisciplined Croatian player from the squad. Just be a good Leader.

10- Work in a team

The four semi-finalist teams of the world have reached this stage of the competition thanks to their collective. We will remember that together we achieve great victories

Steve HODA
 

1. Construire ses victoires sur ses échecs

L’échec est le Père de la réussite dit-on. Il faut apprendre de ses erreurs pour construire ses succès. Cette France qui a perdu l’Euro il y a deux ans, c’est elle qui est sacrée championne du monde.

2. L’expérience fait toujours la différence

Avec une moyenne d’âge avoisinant la trentaine, la Croatie est allée chercher son ticket pour la finale grâce à l’expérience de ses joueurs. A trois reprises, elle est sortie vainqueur après avoir joué 120 minutes de jeu. Pour le Manager, c’est donc important de faire confiance à des personnes expérimentées.

3. La stratégie est importante pour gagner des défis

Southgate, l’entraineur de l’Angleterre est allé chercher la stratégie des coups de pied arrêté dans la NBA. Cette stratégie de joueurs alignés avant l’exécution d’un coup de pied arrêté a permis aux Tree Lions de scorer 9 fois et donc d’arracher la 4^e place du mondial. La stratégie est donc importante pour gagner.  

4. Utiliser les modèles qui marchent ailleurs

Il ne faut pas hésiter à aller chercher des modèles qui marchent ailleurs pour définir votre stratégie. En effet, c’est la méthode de l’entraineur anglais Southgate qui a été utilisé par les joueurs français sur l’action qui a occasionné le pénalty. Et c’est ce qui a été le tournant du match. Recourez donc à des modèles qui marchent et qui sont adaptés à votre contexte.

5. Il faut être persévérant, ne jamais baisser les bras

La remontada de la Belgique face au Japon et la victoire de la Corée qui renvoie l’Allemagne à la maison, sont certainement les deux matches qui resteront dans la tête des férus du foot. Ces matches ont montré la force de caractère des gens qui n’abandonnent jamais. Faites donc de la persévérance une valeur cardinale.

6. Ne jamais se laisser distraire par les critiques

« Il ne pensait pas que c’était impossible et ils l’ont fait », c’est une citation de Marc Twain qui montre qu’il faut foncer jusqu’au bout sans craindre les critiques. C’est justement ce qu’a fait Didier Deschamps. Très critiqué, il est resté concentré sur ses objectifs et c’est lui qui offre le deuxième sacre à la France.

7. Assainir son environnement

La France a tort ou à travers, est considéré comme la sixième nation africaine au mondial justement parce qu’elle regorge beaucoup de joueurs d’origine africaine. Ces derniers n’ont pas forcément le talent de Salah ou encore de Mané mais évolue dans des environnements propices au succès. Il faut donc assainir son environnement pour aspirer au succès.

8. Restez toujours concentré

Ce début de mondial 2018 a enregistré beaucoup de buts dans les ultimes minutes de la rencontre. Les nations africaines ont été celles qui ont le plus été victime de ces hold-up. Et la raison : le manque de concentration. Il faut rester toujours concentré quand on vise un objectif donné.

9. La force du leadership

J’ai (Steve HODA) été particulièrement séduit par le leadership de Cristiano Ronaldo, de l’entraineur Croate, de Paul Pogba dans les vestiaires et sur le terrain et bien évidemment de Didier Deschamps. On a vu le Coach Croate serein et à la fin de la rencontre aller remobiliser et encourager ses joueurs. Le leader c’est celui qui inspire, qui motive, qui ne tarde pas à taper du poing sur la table comme l’expulsion d’un joueur indiscipliné Croate de l’effectif. Soyez juste un bon Leader.

10. Travailler en équipe

Les quatre équipes demi-finalistes du mondial sont arrivées à cette étape de la compétition grâce à leur collectif.  On retiendra donc que c’est ensemble qu’on réalise de grandes victoires

Steve HODA